Lorsque l'on effectue des recherches sur Jéhann Enguerrand de Trencavel, on peut apprendre différentes choses en fonction des sources.
En interrogeant un humain lié au milieux universitaires dans le domaine de l'histoire et des sciences de l'antiquité, on pourra apprendre qu'il y a un Jéhann Trencavel qui est connu comme étant une référence dans les domaines de l'antiquité et de l'histoire médiévale.
En interrogeant un cainite aussi un tant soit peu informé, il vous apprendra que ce même Jéhann Trencavel est connu pour être un bon spécialiste de l'histoire vampirique et de l'occulte entourant les origines des cainites. Un citoyen de Lausanne vous apprendra également qu'il réside depuis l'an 2000 dans la cité lémanique en compagnie, parfois d'une jeune femme d'origine sud-américaine.
Il n'est cependant pas fait état de l'affiliation vampirique de Jéhann.
Si vous vous intéressez à ses noms et prénoms, wikipedia vous informera très surement sur l'origine et la signification des uns et des autres.
Si l'étrange signification de ces noms et prénoms vous interpelle et que vous cherchez plus en avant dans les méandres du web ou d'une bibliothèque universitaire bien fournie, vous apprendrez quelques menues choses.
Tout d'abord, une vieille chronique espagnole, intitulée « la Verdadera Historia de la Conquista de la Nueva España » écrite de la main de Bernal Diaz del Castillo, relate la présence de deux étranges prêtres dont l'un, un occitan, se prénommais Jéhann Trencavel. L'autre était appelé Igniacio Bernal de Saragossa.
Autre fait intéressant, on retrouve la représentation de deux prêtres, dont un pourrait ressembler à Jéhann, dans la Lienzo de Tlaxcala. Ils semblent toujours accompagner et seconder Malintzin, la Malinche.
On trouve un autre fait relatant la présence d'un Jéhann Trencavel dans les écrits de Gustave Jéquier relatant sa campagne de fouille à Suse en 1901. Il y était, semble-t-il, un obscure assistant.
Des traces plus récentes font état de la création, en 1995, de l'institut pour la recherche xéno-archéologique (IRXA), également par un Jéhann Trencavel.
Enfin un enquêteur bien renseigné, verra également fréquemment apparaitre ce nom dans le courrier interne de la société Archeodunum SA.
(Je vous encourage à faire des recherches de termes sur google ou wikipedia... sait-on jamais...)